Cette émission en partenariat avec la revue Hommes et Migrations, est consacrée à la manière dont les migrations influencent les manières de se vêtir, de se coiffer et de traiter son corps dans l’espace grâce à l’habillement. A l’occasion de l’exposition Fashion Mix présentée conjointement par le Musée national de l’histoire de l’immigration et le Palais Galliera, la revue a souhaité croiser le thème de la mode et des flux migratoires pour analyser ce que ce secteur qui fait la renommée de l’hexagone doit aux apports des migrations.
L’émission se propose de suivre toutes les étapes de la filière de la confection et ses conséquences sur les habitudes vestimentaires avec Anne Monjaret, ethnologue et directrice de recherche au CNRS – EHESS qui aborde la place de ces thèmes dans la recherche en France et à l’étranger, Nancy L. Green, directrice d’études à l’EHESS, qui présente l’histoire de la confection et le rôle des migrants dans ce secteur économique, Anne Grosfilley, ethnologue, Lire la suite et partager
A lire et faire lire !
Créé en 1960 à l'initiative de François Cavanna et du professeur Choron, Hara Kiri, journal bête et méchant, accueillit dans ses pages quantité de dessinateurs parmi les plus grands (Fred, Gébé, Topor, Cabu, Wolinski, Reiser, mais aussi Moebius, Lefred Thouron ou Vuillemin entre autres). Leurs dessins - provocateurs, poétiques, absurdes, scatologiques… - furent pour une grande partie responsables du succès du subversif mensuel.
Unes de magazine, illustrations intérieures, caricatures… Retrouvez une compilation de ces trésors d’humour dans cette précieuse anthologie ! Une histoire du dessin de presse à travers le prisme de Hara Kiri, et un beau livre à la gloire d’une époque et d’un ton aujourd’hui révolus.
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Emissions de Radio
Vive la télé bidon… à Avignon !
Vive la télébidon !
Pamphlet clownesque
Du 3 au 26 juillet à 17h
Au cinema Utopia République
5 rue FiguièreRéservations au :
06 71 15 22 46
Cette nouvelle création décrypte avec un humour sans concession de vraies séquences télévisuelles. Des talk shows pseudo politiques à la télé réalité, chacun en prend pour son grade et se retrouve habillé pour pas mal d’hivers. « La télévision c’est comme un iceberg. Le plus important ne se voit pas ! »
Rafaële Arditti continue de s'intéresser à ce qui sonne faux, ce qui marche de travers, et surtout ce qui la met en colère ! Par exemple, à chaque fois qu'elle allume la télévision... Et pour sortir de cette morosité du petit écran soit-disant brillant, la clowne partage avec nous la revanche qu'elle a mijotée : elle dézingue les vrais textes de la télé et nous venge en montrant que sous couvert de nous divertir, certaines émissions propagent des idées bien nauséabondes...Au point de nous influencer dans l'isoloir ?
A voir absolument !
Les nouveaux Chiens de garde, fidèles à leur niche, justifient l’austérité pour le peuple et défendent les privilèges pour les riches. Offrez-vous un vaccin, avec le film de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat. Un DVD à diffuser partout, dans votre association, votre syndicat, votre parti, pour que les esprits, aiguisés, résistent mieux à la propagande.
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Méta
Ecoutez l’émission du 1er juin avec Fatima Mezzouj, Emmanuel Jovelin et Marie Poinsot
Le troisième âge de l’immigration, auquel est consacrée la nouvelle parution (janvier – mars 2015) de la revue Hommes et Migrations, recouvre une grande diversité de situations sociales, économiques et sanitaires en rapport avec les parcours individuels et familiaux que les migrants ont pu avoir en France. L’entrée dans le grand âge des populations immigrées est une problématique qui émerge depuis quelques décennies au fur et à mesure des départs à la retraite de ceux qui étaient venus travailler ici. Avec des revenus diminués, la question de l’accès au logement décent, aux soins et aux dispositifs publics de prise en charge se pose. Les conditions de dépendance et de survie parfois soulignent la grande précarité de ceux, notamment les chibanis, qui n’existent plus comme force de travail et se retrouve parfois très isolés. L’accompagnement des familles face à la maladie d’un parent et la question de la fin de vie, du décès et du choix de lieu de sépulture mettent en évidence la complexité des liens entretenus avec le pays d’origine et aux siens.
Pour répondre à tous ces questionnements, Fatima Mezzouj, doctorante en sociologie à l’université de Pierre Mendès –France et membre du laboratoire PACTE, develope entre autres la question des choix d’inhumation des Maghrébins âgés vivant en France ; Emmanuel Jovelin, professeur de sociologie, Lire la suite et partager »

Réunis à l’appel d’un collectif d’ONG turques et internationales, les manifestants se sont successivement retrouvés devant l’ancienne prison, aujourd’hui Musée des arts islamiques, où furent détenus les premiers Arméniens arrêtés le 24 avril 1915 et à la gare d’Haydarpasa, d’où ils furent ensuite déportés.
Sous l’oeil des forces de l’ordre, ils ont exhibé des portraits des victimes tuées en 1915 et des pancartes Reconnaissez le génocide!, en turc, en arménien et en anglais.
Le 24 avril 2015 marque la commémoration du centenaire du premier génocide du XXe siècle.Les massacres et les déportations des Arméniens de l’Empire ottoman entre 1915 et 1917 firent près d’un million et demi de morts. Le combat de leurs descendants pour que soit nommé et reconnu à la hauteur de sa gravité ce que leurs aïeux ont subi, continue… 100 ans après il s’agit donc de « faire passer » la mémoire pour qu’enfin la vérité fasse histoire. C’est avec l’ambition d’y prendre sa part que cette émission en partenariat avec la revue Hommes et Migrations évoque ces mémoires arméniennes, à travers les témoignages de Jacques Bedrossian et Pierre Mampreyan deux donateurs d’origine arménienne, de la collection de la Galerie de dons du Musée de l’histoire de l’immigration et Robert Guédiguian, réalisateur d’origine arménienne. Laure Piaton, directrice du Centre du Patrimoine arménien, situé à Valence, qui propose cette année une belle programmation sur « les Arméniens avant la nuit », nous explique ses missions de consolidation de l’histoire arménienne à travers la circulation des mémoires et l’ouverture à un large public. Lire la suite et partager »
Ecoutez l’émission du 2 février avec Marie Poinsot, Delon Madavan, Richard Beraha, Hadrien Dubucs et François Roman
Poursuivant sa découverte du Paris des migrants, cette émission en partenariat avec la revue Hommes et Migrations aborde la présence des migrants asiatiques dans la capitale.
L’idée d’une migration récente en provenance de Chine, d’Asie du Sud Est ou du sous continent indien a la vie longue alors que certaines histoires migratoires sont bien implantées dans Paris depuis le début du XXe siècle au moins. Au-delà des images d’activisme commercial et de processions à l’occasion du nouvel an lunaire ou des fêtes de certaines divinités, la visibilité croissante de ces migrations asiatiques ne peut pas pour autant évacuer l’extrême complexité de leur trajectoire migratoire, de leurs projets individuels ou familiaux dans l’espace parisien, de leurs liens sociaux avec d’autres Parisiens d’ici ou venus d’ailleurs. Quels sont les parcours résidentiels de ces migrants ? Y-a-t-il des quartiers parisiens qui les accueillent davantage ? Comment considèrent-ils leur vie parisienne ? Peut-on parler d’une mise en tourisme « culturel ou patrimonial» de leur présence à Paris ? Pour répondre à toutes ces questions qui mettent l’accent sur la diversité des profils et des situations de ces migrations asiatiques, Delon Madavan, géographe et post-doctorant au Centre d’études et de recherche sur l’Inde, l’Asie du Sud et sa diaspora à l’université du Québec à Montréal, Richard Beraha, enseignant à l’IEP de Paris et spécialiste des Wenzhous en France, et Hadrien Dubucs, géographe et maître de conférences à l’UFR de géographie et d’aménagement de l’université Paris-Iv Sorbonne et spécialiste des migrants japonais à Paris. François Roman, fondateur de lapetitecouronne.tv montrera aussi comment un magazine des cultures peut parler autrement de ces Parisiens d’origine asiatique à travers deux portraits filmés réalisés récemment.
La commémoration de la Grande Guerre n’a accordé qu’une place restreinte aux étrangers, présents et engagés dans ce premier conflit mondial. Pourtant, il s’agit de plusieurs milliers d’hommes, venus des pays limitrophes comme du monde entier travailler ou combattre dans l’hexagone. Qu’ils soient civils, immigrés en France avant 1914, soldats ou travailleurs coloniaux, volontaires étrangers, déplacés, puis réfugiés ou apatrides, Lire la suite et partager »
Téléchargez l’émission du 6 octobre avec Marie Poinsot, Serge Weber et Chahla Beski-Chafiq
Ecoutez l’émission du 6 octobre avec Marie Poinsot, Serge Weber et Chahla Beski-Chafiq
Rencontre avec les coordinateurs et lune des auteurs de l’ouvrage qui pointe de manière documentée, vivante et pédagogique l’évolution des flux migratoires qui composent le creuset de notre société.
Les réalités migratoires ont changé depuis les années 2000 : de nouveaux flux ont entraîné l’installation de populations qui n’ont ni les mêmes profils ni les mêmes modalités d’installation et de relations avec la France que par le passé. D’autres migrations sur le sol hexagonal, plus anciennes, poursuivent leurs parcours complexes et multiformes en interpellant la société sur les points d’achoppement de leur intégration.
Pour rendre compte de ces mutations, cet État des savoirs fait le point sur les recherches multidisciplinaires menées depuis le début du XXIe siècle : apports théoriques, résultats significatifs, nouveaux chantiers, enjeux. Il ouvre la réflexion sur les problématiques internationales ou européennes, dans lesquelles la France s’inscrit par la mondialisation des échanges : nouvelles migrations et diasporas, politiques publiques, questions identitaires, représentation et transmission. Lire la suite et partager »
Une émission en partenariat avec la revue Hommes et Migrations, avec
Hamidou Dia, chercheur à l’Institut de Recherches et Développement et coordinateur du dossier et spécialiste des migrations qualifiées et Christelle Hounsou, doctorante à l’Unité de Recherche Migrations et société (URMIS), qui travaille sur les professionnels de santé d’origine africaine en France durant laquelle interviennent également Imane Ayissi, créateur de mode d’origine camerounaise à Paris, ancien mannequin et également auteur de contes africains
et Barthélemy Toguo, artiste plasticien et créateur au Cameroun d’une fondation pour l’art contemporain Bandjoun Station.
Les flux migratoires ont changé de nature avec la mondialisation. Des migrations de personnes dotées de diplômes universitaires ou de qualifications professionnelles pointues, quittent leur pays pour compléter leur formation initiale ou trouver des emplois plus adaptés à leurs compétences qu’elles ne trouvent malheureusement pas sur le marché du travail d’origine. Les femmes sont également de plus en plus candidates au départ, pour des raisons personnelles aussi. De plus, ces migrations concernent aussi des artistes, qui viennent mettre leurs talents et leur créativité à profit sur les scènes artistiques internationales, dont Paris, tout en maintenant avec leur société d’origine des liens forts et producteurs de nouvelles initiatives.
Quelle place a pris le continent africain dans ces migrations qualifiées qui se déploient sur l’ensemble de la planète et pas seulement du Sud vers le Nord ? Lire la suite et partager »
Cette émission en partenariat avec la revue Hommes et Migrations aborde le thème « Ecrire la migration », à l’occasion de la sortie en juin d’un dossier consacré aux relations entre migrations et écritures, mais aussi en avant première de la soirée de remise du prix littéraire de la Porte Dorée, le 4 juin à 19h00 au Musée de l’histoire de l’immigration, qui depuis 5 ans sélectionne un roman de langue française portant sur l’exil, les migrations, l’altérité etc. Cette émission porte sur la mise en récit des migrations, comme ressources de travaux de recherche ou comme fiction romanesque.
Téléchargez l’émission du 30 juin avec Marie Poinsot
Ecoutez l’émission du 30juin avec Marie Poinsot
Ecoutez l’émission avec François Bensignor, journaliste spécialiste des musiques du monde, chroniqueur régulier dans Hommes et Migrations, et commissaire de Great Black Musique, l’exposition qui se tient à la Cité de la Musique à Paris jusqu’au 24 août 2014 (salle Mama Africa), évoque cette présence des musiciens africains en France, notamment à partir de l’exemple de Ibrahima Sylla décédé en décembre dernier et producteur de plusieurs labels dont il avait présenté un portrait dans le numéro de la revue au début de l’année 2014. Binetou Sylla, la fille de Ibrahima qui reprend le label Syllart Records fondé par son père en 1981 nous explique la démarche qui est la sienne.
Tout ce programme, spécial musique africaine, est illustré par des morceaux choisis par François Bensignor.
On oublie souvent que la France s’est enrichie des musiques venues d’ailleurs. Beaucoup d’artistes, compositeurs ou interprètes, sont venus en France pour se former ou faire carrière et leurs musiques ont permis une ouverture de la scène française aux musiques du monde. Lire la suite et partager »
A l’occasion de l’ouverture aux publics de la Galerie des Dons* du Musée de l’histoire de l’immigration, cette émission est consacrée à la question des récits de migrants, souvent anonymes, qui se cristallisent autour d’objet transmis de générations en générations et qui ont été acquis par ce Musée pour rentrer dans les collections. Quel sens ont ces objets pour les donateurs ? Comment incarnent-ils des mémoires qui s’agrègent à la grande Histoire ? Quelles relations les donateurs entretiennent-ils avec un musée qui fabrique du patrimoine à partir de la grande diversité de ces dons ? Avec Marie Poinsot la rédactrice en chef de la revue Hommes et Migrations, nous évoquons ces questions en compagnie d‘Hélène Du Mazaubrun, responsable de cette collection de la Galerie des Dons ainsi que deux donateurs, Pierre Mampreyan et Melkon Bédrossian, tous deux cousins et d’origine arménienne.
Quant aux artistes Damien Roudeau et Frédérique ils se sont emparé à leur façon de cette question avec un atelier initié par les Carnettistes Tribulants, un collectif de onze artistes qui en mars dernier ont créé une fiction, presque une légende, à partir des objets de la Galerie des Dons, sous forme de carnets de voyage avec la participation du public présent au Musée de la Porte Dorée. Lire la suite et partager »
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