Où l’on retrouve Olivier et Hariette, en direct par téléphone de Hongrie. Rappelons que le jeune couple est parti mi-août en camion aménagé, pour un périple en Europe de l’est à la recherche de musiciens à enregistrer… (Un long reportage leur a été consacré dans l’émission du 20 juillet 209). On peut suivre leur parcours au jour le jour sur leur blog !
A lire et faire lire !
Créé en 1960 à l'initiative de François Cavanna et du professeur Choron, Hara Kiri, journal bête et méchant, accueillit dans ses pages quantité de dessinateurs parmi les plus grands (Fred, Gébé, Topor, Cabu, Wolinski, Reiser, mais aussi Moebius, Lefred Thouron ou Vuillemin entre autres). Leurs dessins - provocateurs, poétiques, absurdes, scatologiques… - furent pour une grande partie responsables du succès du subversif mensuel.
Unes de magazine, illustrations intérieures, caricatures… Retrouvez une compilation de ces trésors d’humour dans cette précieuse anthologie ! Une histoire du dessin de presse à travers le prisme de Hara Kiri, et un beau livre à la gloire d’une époque et d’un ton aujourd’hui révolus.
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Emissions de Radio
Vive la télé bidon… à Avignon !
Vive la télébidon !
Pamphlet clownesque
Du 3 au 26 juillet à 17h
Au cinema Utopia République
5 rue FiguièreRéservations au :
06 71 15 22 46
Cette nouvelle création décrypte avec un humour sans concession de vraies séquences télévisuelles. Des talk shows pseudo politiques à la télé réalité, chacun en prend pour son grade et se retrouve habillé pour pas mal d’hivers. « La télévision c’est comme un iceberg. Le plus important ne se voit pas ! »
Rafaële Arditti continue de s'intéresser à ce qui sonne faux, ce qui marche de travers, et surtout ce qui la met en colère ! Par exemple, à chaque fois qu'elle allume la télévision... Et pour sortir de cette morosité du petit écran soit-disant brillant, la clowne partage avec nous la revanche qu'elle a mijotée : elle dézingue les vrais textes de la télé et nous venge en montrant que sous couvert de nous divertir, certaines émissions propagent des idées bien nauséabondes...Au point de nous influencer dans l'isoloir ?
A voir absolument !
Les nouveaux Chiens de garde, fidèles à leur niche, justifient l’austérité pour le peuple et défendent les privilèges pour les riches. Offrez-vous un vaccin, avec le film de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat. Un DVD à diffuser partout, dans votre association, votre syndicat, votre parti, pour que les esprits, aiguisés, résistent mieux à la propagande.
Commander-le en ligne sur le site d'Acrimed ou via le bon de commande disponible ici
Archives
Méta
La commune libre d’Aligre fait son cinéma.
Katia Siffo part à la recherche dela mémoire de Belleville
Amadou Gaye, arrivé en retard, nous parle de son spectacle Négritude et de lui, un peu, aussi !
Les ateliers du Chaudron. Rencontre avec Tanith Noble, son équipe et des enfants dans un jardin de Ménilmontant
Emission consacrée à la 10ème édition du festival itinérant des arènes de Montmartre… ou comment redécouvrir la comedia del arte et le théâtre de tréteaux en profitant du cadre exceptionnel des lieux parisiens accueillant les représentations.
Avec Gilbert Bourébia, directeur artistique du festival et fondateur de la compagnie du mystère bouffe, Benjamin Kerautret, metteur en scène de la pièce « le médecin malgré lui », Anthony Casabella, comédien dans la pièce « Lancelot et le dragon » mise en scène par Carlo Bosso, et Chara Skiadelli, programmatrice du festival.
Entre 8h et 9h : Jean Larriaga, auteur et son éditeur Mokeddem
entre 9h et 10h : analyse institutionnelle (sauvage) avec Martin Schvartzapel
Entre 8h et 9h, Jérôme Martinez de la CIMADE, nous détaille le contenu et l’esprit du premier rapport de cette association concernant le traitement de immigrés et les pratiques administratives les concernants.
Entre 9h et 10h, rencontre avec Olivier Biarotte et Hariette avant leur départ pour un périple de plusieurs mois en van à la rencontre de musiciens d’Europe de l’est.
Entre 8h et 9h :
– Entretien avec Insa Sané : artiste aux multiples facettes il a exercé ses talents au cinéma, en 2005, dans le film Voisins, Voisines de Malik Chibane et il évolue dans le milieu du slam et du hip hop depuis dix ans. Il est membre du groupe « Insa Sané et The Soul Slam Band et 3K2N ». Après Sarcelles-Dakar, son premier roman, paru aux éditions Sarbacanes en 2006, le second Du plomb dans le crâne, paru en 2008 et en passe d’être adapté au cinéma , le jeune auteur sarcellois récidive, ou plutôt poursuit avec le troisième volet de sa » comédie urbaine » : Geule de Bois, un roman dans lequel on retrouve les mêmes protagonistes, Farrell, Sonia, Djiraël, Tierno, coincés dans leur cité, avec en toile de fond l’espoir suscité par l’élection d’Obama.
– Rencontre avec la peintre Karine Azoulais à l’occasion de sa première exposition personnelle à la Galerie Bastille, 20 rue des taillandiers à Paris. Cette artiste autodidacte s’est prêtée à un double exercice : tenter de traduire en mots une pratique qui a pour vecteurs les pigments, le geste et la toile, et aussi commenter, avec distance, ses propres oeuvres…
– Et aussi : à 8h45, en direct par téléphone, « Hors Humain » parlera de son prochain spectacle hors normes qui aura lieu au Pont de l’Alma, Mercredi 1 juillet à partir de 22h 30, rive gauche Quai d’Orsay.
« Allo, ici Hors Humain ». Quand on entend ça au téléphone, on croit à une plaisanterie.
Mais si la conversation se prolonge, on comprend vite qu’il se passe quelque chose de bizarre. « Hors Humain » existe bel et bien. Un visage taillé à la serpe, un regard incisif, une silhouette qui ne correspond pas à son état-civil. Il a 65 ans, l’âge où beaucoup renoncent à tout, en attendant la suite. « Hors Humain », ces deux mots troublants sont écrits sur son passeport officiel. Il a tout d’un homme, mais il s’est placé délibérément en marge de l’humanité souffrante et vieillissante. Au prix d’une vie très volontaire, sans réel sacrifice, mais sans alcool, sans viande, sans drogue, une vie naturelle et surtout respirante. Il respire drôlement, ce « Hors Humain », ce qui lui a permis de battre le record du monde du choc thermique en sautant, entre deux icebergs du Groenland, dans une eau à moins deux degrés. Ce qui lui a permis d’inventer, avant les yamakazi, le tourisme aérien sur les toits des villes. Ce qui lui a permis d’inventer un souffle contraire qui donne une énergie redoutable et qui sauve. Il souffle, il est poète et dément bien des idées reçues sur le vieillissement. Tout est dit et il nous étonne. Ce type est vraiment « hors humain ».
Avertissement : les chercheurs de gourou doivent s’abstenir. Il montre sans rien imposer, et ensuite, à chacun sa route.
Bientôt, ici même, quelques lignes sur les thématiques de l’émission et la liste des intervenants. En attendant vous pouvez quand même écouter l’émission en ligne …
Entre 8 et 9h Eugénie Barbezat reçoit Anne Rambach, auteur du livre « Les Nouveaux Intellos Précaires » paru aux editions Stock
Dans « Les Nouveaux Intellos précaires » Anne et Marine Rambach passent en revue l’évolution du travail dans les secteurs de la presse, de l’édition, de la recherche, de l’Education et de la culture. Leur constat est accablant : la précarité de cette « nébuleuse de travailleurs de l’intellect qui partagent un certain sort dans le monde du travail contemporain » s’agrave. Et les syndicats et les partis de gauche ne se sont toujours pas vraiment emparés du sujet.
L’intello précaire, c’est la victoire du libéralisme, le rêve du Medef. Mais c’est aussi une des plus belles preuves de la survie de l’individu devant la barbarie libérale : « Excessivement libéraux pour les analystes de gauche car ils se livrent à une concurrence sauvage dans un environnement largement déréglé, excessivement marginaux pour les analystes de droite qui voient en eux d’abord des opposants à la sacro-sainte culture d’entreprise. » L’intello précaire est un travailleur hard-discount. Il est auteur, éditeur en free-lance, journaliste pigiste, correcteur, nègre, photographe, enseignant non-titulaire, doctorant surdiplômé partant exercer à l’étranger. Souvent, il cumule plusieurs de ces « statuts ». Il ne connaît pas les RTT, les remboursements de frais, les congés payés, les tickets resto, ni les arrêts-maladie, et ne les connaîtra plus jamais. Obligé d’avoir plusieurs activités en même temps, il est harassé par le travail mais ne gagne pas plus. Il travaille pour garder du travail. Il a parfois des fréquentations mondaines, un sérieux prestige, une force d’abattage remarquable, et un style de vie apparenté bobo. L’intello précaire est passionné, dopé à la survie. Il croit en la connaissance par le style, le goût, le courage et le distinction. Quand un intello précaire rentre seul d’un dîner en ville, il ne dort pas : il travaille.
Parmi les secteurs concernés, la presse. Pour les journalistes, les critères d’obtention de la carte –la majorité des revenus doivent être issus de la presse paritaire, celle qu’on trouve en kiosque et en ligne- excluent ceux qui sont obligés d’avoir une autre activité pour vivre. De très nombreux pigistes doivent en effet recourir à d’autres métiers pour compléter leurs revenus : romanciers, correcteurs ou lecteurs dans l’édition, avoir recours à une activité au noir, travailler dans l’évènementiel, ou bien nègres littéraire. Le revers de la médaille : ce genre de journaliste doit travailler vite et bien. Mais les enquêtes, les sujets approfondis, une approche sereine du temps de préparation, la lecture d’un livre par jour en moyenne (dans mon propre cas), sont inconciliables avec ce « vite et bien ».
Qui convient mieux à un sprinter du 100 mètres qu’à un travailleur du cerveau.
Un journaliste doit suivre le feu de l’actualité, mais le sérieux de son travail repose aussi sur la distance qu’il établit, dans son papier, entre l’actualité et la vérité, le réel et le compte-rendu du réel. Pour un pigiste, le compte ne sera jamais rendu. A lui de faire qu’il soit bon. Ce qu’un journaliste précaire apprend sur lui-même : une nouvelle approche des notions de travail, de sérénité, de vie privée, d’espace-temps, de santé, l’importance du sport. Le pigiste subit de plein fouet la contradiction de la crise du secteur : vu la multiplication des pigistes, il a plus de chances d’avoir des sujets à réaliser, sans participer autant qu’avant -faute de temps, car il doit travailler pour plusieurs publications- à la vie rédactionnelle et interne de ses journaux. Une partie du livre est consacré à la mutation de la presse, aux nouveaux sites d’informations. Si elles accueillent avec joie la révolution de la presse que sont ces nouveaux organes, Anne et Marine Rambach pointent également le coût social considérable de la gratuité revendiquée sur le web, et le fait qu’il n’y a d’autres moyens pour le moment que d’avoir recours aux statuts vulnérables et au bénévolat.
– entre 8h et 8h 30, Eugénie Barbezat reçoit la CIMADE à propos des tentatives de modification de la loi sur la rétention et sur les missions confiées aux associations habilités à intervenir auprès des « retenus ».
– entre 8h30 et 9h30 : Focus sur le festival « les yeux ouverts sur l’immigration » avec Nabila Amghar, coordinatrice de la programmation et Djamel Ouahab, réalisateur du film « Gerboise Bleue » qui traite des conséquences des essais nucléaires pratiqués entre 160 et 1666 par la France dans le Sahara.
– entre 9h30 et 10h : Le musicien et chanteur Nicolas Joseph présentera le festival « Ta parole » qui a lieu à Montreuil du 12 au 14 juin 2009 et jouera en direct !
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