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Écoutez l’émission du 29 octobre avec Grégory Protche et Théophile Kouamouo
Théophile Koumouo et Grégory Protche sont deux journalistes indépendants, au sens où ils sont attachés à recherche de la vérité. Pour cela, c’est assez simple, il suffit d’un minimum de curiosité, de réflexion et d’investigation.
Avec « On a gagné les élections mais on a perdu la guerre, cinq raisons de ne pas marcher à la victoire de Ouatara« , paru aux éditions du Grigri, Grégory Protche décortique la mécanique militaro-diplomatico-médiatique qui a imposé à la tête de la Côte d’Ivoire, pays sois-disant indépendant, un homme choisi par des puissances étrangères, dont la France. Une version de l’histoire récente qui bienqu’évidente est absente de la presse hexagonale. Dans « J’accuse Ouatara », paru aux même éditions Théophile Kouamouo revient sur l’histoire de ce « coup d’état », beaucoup plus et mieux préparé que l’on n’a voulu le faire croire. Il a voulu faire partager aux lecteurs son indignation de journaliste,de citoyen. En effet en tant que spécialiste de l’information sur la Côte d’Ivoire il ne cesse de se rendre compte de la puissance de la machination qui, hier comme aujourd’hui, tente d’imposer comme un fait historique un mensonge fondamental. Alors que la déstabilisation armée de la Côte d’Ivoire a démarré moins de six mois après son départ du Fonds monétaire international et son entrée officielle dans l’arène politique ivoirienne, Alassane Ouattara n’aurait aucune responsabilité politique ou judiciaire dans un drame ivoirien qui a occasionné bien plus que les 3 000 morts officiels de la guerre postélectorale.
L’ouvrage indique aux lecteurs, à titre d’exemples, quelques articles de presse non seulement factuellement mensongers, mais moralement odieux et des rapports d’organisations de défense des droits de l’homme tendancieux, dont certains passages relevent plus de la fiction accusatrice que d’une recension sourcilleuse des faits. Ce livre ne se donne pas pour objectif de recenser tous ces coups portés à la vérité depuis que la vie politique ivoirienne s’est colorée de rouge sang.
Une bible entière ne suffirait pas à les énumérer. L’objectif premier de ce festival du mensonge et de l’omission est de garantir à Alassane Ouattara une impunité de première classe. Et c’est contre cette impunité que ce petit ouvrage va en guerre.
Grégory Protche lit On a gagné les élections… par legrigriinternational
Les deux livres sont en vente sur le site du Nouveau Courrier